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Ressources Humaines - Page 4

  • Dormir au chaud sous les étoiles

     

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    À 12 km au nord de Marseille (13), Attrap’Rêves a conçu des chambres sous de grosses bulles en plastique qui donnent une vue incomparable sur l’environnement. “Un hébergement insolite et de plein air avec une vraie intention écologique”, revendique Murielle Giovansili, leur conceptrice : “quand on les dégonfle et qu’on les replie, il n’y a aucun impact sur la nature.” Cette idée novatrice crée un maximum de confort avec le minimum de matériel : les ampoules sont basse tension, la consommation pour la soufflerie/bulle est minimale et un projet d’autonomie solaire est programmé pour l’an prochain.
    Une bulle zen transparente offre une vue à 360°, une autre semi transparente préserve l’intimité et une 3e est organisée en suite avec douche solaire et toilettes sèches. Le tout pour 99 à 129 € (pour 2), avec télescope, parc de 1,5 hectares et petit déjeuner compris, “pas forcément si cher par rapport à une chaîne en bordure d’autoroute”, selon la propriétaire du lieu.

    Structures nomades

    Elle et son frère ont connu cet hébergement de plein air fabriqué par des designers français dans un salon outdoor. Vendu comme véranda, ils en ont simplement détourné l’usage pour proposer des chambres d’hôtes d’un nouveau genre, après un investissement de 6 000 à 9 000 € HT (soufflerie, plancher, chauffage compris) par bulle. Attrap’Rêves affiche quasi complet jusqu’à la fermeture saisonnière (du 29 novembre au 11 février). En hiver en revanche, fermeture obligatoire. Pendant ce temps là, les bulles peuvent être louées comme structures nomades, bar lounge ou showrooms éphémères.

    Source : Hôtellerie-Restauration Céciel Cau

    Pour plus d'informations :

    Attrap’Rêves
    Chemin de la Ribassière
    Domaine Lou Baou
    13190 Allauch
    http://www.attrap-reves.com/

  • Le Ritz aux couleurs du Japon

    ritz_paris_entree_1.jpgLe célèbre chef japonais Nobu Matsuhisa fait bouger les fourneaux du Ritz pour des mets aux influences nippones, sud-américaines et occidentales.

    Jusqu’au 11 décembre, le talentueux chef Nobu Matsuhisa se met aux fourneaux du Ritz pour offrir le meilleur de la cuisine nipponne. Il la triture pour en dévoiler un nouveau genre aux influences sud-américaines et occidentales. À découvrir uniquement pour le dîner.

    Ritz : 38 rue Cambon – 75008 Paris – 01 43 16 30 98

  • De l'eau chez Colette

    image_image_new_107003_fr.jpgLe Water bar Colette lance de nouvelles boissons bien-être adaptées à tous les âges : eau de coco, lactosérum, jus de fruits, thé vert, minéraux, pour faire le plein de vitamines !

    Parce que tout le monde n'a pas les mêmes besoins, cette nouvelle boisson se décline en 6 recettes inédites : zinc, grenade et sélénium pour les seniors, vitamine D et lait pour les enfants, citron et vitamine C pour les jeunes adultes…Nom de code : Nesfluid au Water bar Colette, 1,65 € les 250 ml.

  • La lettre de motivation décortiquée et expliquée

    Lettre de motivation avant....

    Madame, Monsieur,

    En réponse à votre annonce pour un poste de directrice de cuisine centrale, parue sous la référence XRS456 dans la Gazette du Gourmet, j’ai le plaisir de vous faire parvenir ma candidature.

    Forte d’une expérience de près de 10 ans dans des fonctions similaires, je suis convaincue de correspondre au profil que vous recherchez.

    Je manage actuellement une équipe de 22 collaborateurs assurant 500 000 couverts par an. Mes missions concernent, entre autres, la planification et la mobilisation des équipes, la coordination des services, et l’optimisation des gains de productivité. Grâce à la mise en œuvre de nouvelles méthodes et processus de fonctionnement, notre chiffre d’affaires a atteint 1 900 000 MF par an dès 2007.

    Titulaire d’un BTS Hôtellerie restauration, j’ai également suivi plusieurs formations concernant les règles d’hygiène et de santé alimentaire. La cuisine centrale dont je suis actuellement directrice est d’ailleurs un établissement normé ISO 9001.

    Outre mon efficacité, ma rigueur et des résultats qui dépassent souvent les attentes, mes supérieurs et collègues apprécient mon aisance dans les relations humaines, mon sens de l’écoute, ainsi que ma détermination à maintenir un niveau qualitatif irréprochable pour nos prestations.

    J’espère pouvoir vous rencontrer bientôt pour discuter plus avant du poste que vous proposez.

    Dans cette attente, je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, mes salutations distinguées.

    Bien cordialement,

     

    Lettre de motivation après...

    La lettre : où est la motivation ?

    « La motivation ne transparaît pas assez », insiste Alain Jacob, directeur du cabinet AJ Conseil. De manière générale, la lettre de motivation manque de dynamisme. Un constat qui se traduit par des tournures de phrases attentistes, à l’instar de la formulation « J’espère pouvoir vous rencontrer bientôt ». « Cette phrase est vieillotte et passive. Il faut préférer : « Je vous propose de nous rencontrer », qui traduit une confiance en soi. »

    La hiérarchie des informations mériterait, quant à elle, d’être revue. « La paragraphe sur la qualité des prestations est peu détaillé. Il gagnerait pourtant à être mis en valeur car il y a une attente forte des recruteurs sur cet aspect », poursuit Alain Jacob. Ce paragraphe pourrait, par exemple, être placé avant celui qui détaille les qualités de gestion et de management de la candidate.

    Après avoir parcouru le CV et la lettre de motivation, une interrogation importante subsiste : « la candidate habite Chambéry et son dernier poste était à Besançon. On a donc envie d’en savoir plus sur sa mobilité. »

     

    Verdict final : Même si la lettre de motivation est un peu fade et le CV peu détaillé, la candidate a de bonnes chances d’être contactée par téléphone voire même d’être reçue en entretien. Son atout ? La maturité professionnelle. « Dans le secteur de la restauration, on peine à trouver de bons candidats. Les compétences de cette personne sont assez rares. Elle a une expérience de 15 ans dans le domaine de la collectivité. C’est loin d’être négligeable », conclut Alain Jacob.

     

    Aurélie Tachot © Keljob.com – février 2010